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Le Blog
Interview du Webmestre sur France3
 Ben Bella et son Histoire
Auteur: Amirouche 
Date:   2003-01-20 12:20:09

I. « Abane Ramdane négociait pour la France »
Deux mois après ses fracassantes accusations contre Abane Ramdane et le Congrès de la Soummam, l'ancien Président de la République, Ahmed Ben Bella (1962-1965), vient de récidiver sur Al Jazira avec une série d'entretiens où il répond à ses détracteurs (Khalida Messaoudi, Rédha Malek, Hachemi Chérif et la veuve Abane, entre autres) mais où, surtout, il apporte d'autres détails sur la « traîtrise » de Abane Ramdane qu'il désigne clairement comme un agent du gouvernement français. M. Ben Bella parle notamment d'une rencontre de San Remo organisée sous l'impulsion de Abane qui y a dépêché des centralistes. Il revient aussi, longuement, sur les assassinats suspects : celui de Khemisti, Khider ou Chaâbani. Son témoignage revient sur les trois premières années de l'Indépendance, qui restent floues pour la plupart des Algériens. Le Matin a choisi de publier dans son intégralité ce témoignage que nos lecteurs ont pu rater et qui gagnerait à être connu par tous, par devoir de mémoire et de débat pour la vérité. Nous sommes conscients des polémiques que de tels propos peuvent susciter, comme nous n'ignorons rien des irritations que cela peut causer auprès de larges couches de la société qui ne manqueront pas d'être indignées devant un si violent opprobre à l'endroit des grands dirigeants de la Révolution. Mais le débat fécond et décisif est à ce prix. Le Matin donne tout l'espace à Ahmed Ben Bella, en se promettant de réserver le même pour tous ceux qui ne manqueront pas d'apporter la contradiction.
Dans cette première partie (qui, en fait, est la dernière de la série, mais par laquelle nous entamons cette suite d'articles pour les besoins de l'actualité, car elle traite de Abane Ramdane), il sera question des nouvelles révélations de Ben Bella sur le rôle de Abane Ramdane ainsi que sur « la fausse réputation du Congrès de la Soummam ».

Al Jazira (Ahmed Mansour) : Il y a une tempête politique et médiatique en Algérie depuis que nous avons commencé à recueillir sur Al Jazira le témoignage de Ahmed Ben Bella, premier Président de l'Algérie indépendante, dans l'émission « Chahada Ala El'Asr » (témoignage sur l'époque). Durant les 13 semaines qu'ont duré les débats avec Ben Bella, des dizaines de commentaires ont été écrites dans la presse algérienne et des colloques ont été organisés par les partisans et les adversaires, demandant la réécriture de l'histoire de l'Algérie. Je me rappelle la première fois que j'ai rencontré Ben Bella à Genève et les nombreuses séances de persuasion que j'ai dû organiser pour le convaincre d'apporter son témoignage sur Al Jazira. Il m'avait répondu alors : « Les vérités que j'ai à dire pourraient créer un séisme, alors je préfère le silence. » Mais je n'ai pas cessé de le harceler durant ces quatre années pour obtenir son témoignage, jusqu'au jour où le directeur de la chaîne Al Jazira m'a annoncé l'accord de M. Ben Bella pour livrer son témoignage. J'ai alors enregistré, durant les mois de février et mars 2002 à Génève, les témoignages de M. Ben Bella, travail qui a pris trois semaines. Aujourd'hui, nous revenons sur les réactions à ces émissions qui ont bouleversé le monde politico-médiatique algérien en espérant que cela contribuera à la clarification du débat et de l'histoire () Et je pose la question à M. Ben Bella : vous attendiez-vous aux violentes réactions qui ont suivi vos témoignages ?

Ahmed Ben Bella : Oui, je m'y attendais. Parce que depuis un certain temps se sont accumulées des tendances négatives et erronées en Algérie. Elles ont pris une grande ampleur et, sincèrement, c'est ce qui m'a fait hésiter à prendre la parole. En toute franchise, la Révolution algérienne est restée secrète et aucun livre historique fiable, même pas un, n'est venu lever le voile sur ces énigmes bien gardées.

Vous voulez dire qu'il reste encore des choses qu'on ignore sur la Révolution algérienne.
Beaucoup de choses. Beaucoup. L'histoire de la Révolution algérienne reste à écrire.

Mais il y a des choses dont vous avez refusé de parler
Oui, il en existe. Des choses vont rester entre @!#$ et moi parce que ce n'est pas dans l'intérêt de l'Algérie d'en parler maintenant. Oui, il y a des choses dont je n'ai pas voulu parler.

Donnez-nous quelques exemples
Des exemples ? Vous savez Je vais vous dire Par exemple le secret de San Remo. Je vous ai parlé des trois frères qui sont venus me voir au début de 1957 à San Remo (Italie) : Benkhedda, Salah Louanchi et Temmam. Les trois appartiennent à la mouvance des « centralistes » (membres du comité central du MTLD opposés à Messali, ndlr). Les centralistes avaient été mis hors d'état de nuire par la France et ils s'étaient rendu compte, au bout de six à sept mois, qu'ils n'avaient aucune influence sur le cours de la Révolution. La France essayait même d'entretenir avec eux des relations pendant qu'ils étaient emprisonnés. Les trois émissaires des « centralistes » sont donc venus à San Remo pour me rencontrer alors qu'à l'époque je résidais au Caire

Ils voulaient rencontrer en fait Khider
C'est vrai. Khider était un homme intègre et ils le connaissaient mieux que moi.

Et ce n'est pas Khider qui a été envoyé à San Remo mais vous
Oui, parce qu'on s'est réunis avec Boudiaf, Mahsas et je crois Ben M'hidi. Et on s'est entendu que ce sera moi qui les verrai. Pourquoi ? Parce que les centralistes étaient demandeurs et ce n'était pas à eux de désigner leur interlocuteur. C'était à nous de choisir notre représentant. Surtout que les centralistes, vous savez, étaient contre le 1er Novembre (déclenchement de la Révolution armée). C'est cela la vérité.

Mais Belaïd Abdesselam a nié que les centralistes aient été contre le 1er Novembre, précisant que « nous sommes entrés dans la guerre au moment opportun »
(Ben Bella prend un air excédé) Vous savez, Belaïd Abdesselam est un homme vertueux, mais c'est un centraliste, il ne peut pas dire autre chose. Cela dit, je le respecte comme je respecte les trois frères qui sont venus me voir à San Remo et qui ont milité à mes côtés. Et je les respecte aussi parce qu'ils sont restés propres. Parmi eux Benyoucef Ben Khedda.

Mais vous avez humilié Ben Khedda !
J'ai été contre ses positions politiques, pas contre son côté moral. Jusqu'à aujourd'hui, il est resté propre. Il n'a jamais été impliqué dans les affaires de corruption, par exemple. Ils sont nombreux au sein du PPA avec lesquels nous n'étions pas d'accord sur le plan politique, mais qui sont irréprochables sur le plan du comportement.

Que leur reprochiez-vous donc ? Sur quoi n'étiez-vous pas d'accord avec eux précisément ?
Sur le fait précisément que leur tendance était contre la Révolution. Ils se sont opposés au 1er Novembre.

De qui parlez-vous exactement ?
De Ben Khedda, Salah Louanchi, Temmam, entre autres, qui étaient connus comme les représentants des centralistes, du temps de Messali. Les gens qui sont venus à San Remo

Qu'ont-ils dit en vous voyant ?
Ils ne m'attendaient pas, ils attendaient Khider. Ils ont reconnu eux-mêmes qu'ils avaient des relations avec le gouvernement français qui leur a demandé ceci : « Constituez un parti et la France négociera avec vous car il n'y a pas de possibilité de négociation avec le Front de libération nationale (FLN) et il n'y aura pas de négociation avec le FLN. » Je les ai écoutés, je ne leur ai rien dit de méchant et, à la fin, je leur ai dit : « Vous nous proposez finalement ce que la France a tout le temps cherché à avoir : la troisième voie. Et ils vous ont trouvé, vous, pour personnifier cette troisième voie, vous qui avez été contre le déclenchement du 1er Novembre ? On doit donc remettre à vous le pouvoir de décision ? »

Donc, la France voulait fabriquer un parti avec qui négocier ?
C'est exactement ce qu'elle leur a demandé. Le but était de contourner le FLN. Mais finalement, les Français ont pris attache avec nous et nous étions en négociation quand il y a eu l'affaire de l'arraisonnement de l'avion (l'avion qui transportait Ben Bella, Aït Ahmed, Boudiaf, Lacheraf et Khider de Madrid à Tunis avait été détourné sur Alger le 22 octobre 1957 et ses occupants incarcérés jusqu'en 1962, ndlr). Cela faisait sept mois qu'on négociait et on était arrivé au même résultat qui s'est réalisé six ans plus tard, en 1962 : le référendum puis l'indépendance.

Quelle relation entre cet évènement et ce que vous avez dit sur Abane Ramdane ?
J'y viens. Je ne vous ai pas dit quelque chose d'important. A la fin de l'entretien avec les trois frères, à San Remo, et après avoir refusé leur proposition, je leur ai demandé : « Abane Ramdane partage-t-il votre opinion ? Quelle est sa position ? » Ils m'ont alors répondu : « C'est Abane qui nous a envoyés » Et cela, j'ai oublié de vous le dire la première fois

C'est lui qui les a envoyés ?
C'est lui qui les a envoyés à San Remo.

C'est cela qui vous a poussé à faire les premières déclarations sur Abane Ramdane ?
La première fois, je n'avais pas tout dit. Je voulais éviter d'exacerber les choses, les émotions

Maintenez-vous vos accusations de traîtrise contre Abane Ramdane que vous avez lancées la première fois ?
Je maintiens qu'il a commis quelque chose de très dangereux. Celui qui veut le qualifier de « traître » qu'il le fasse. Quant à moi, je dirai que Abane Ramdane n'a jamais été dans le premier noyau qui a initié la guerre de libération. Il n'a jamais fait partie de l'Organisation spéciale (OS, organisation militaire mise sur pied par le PPA en 1947 et dans laquelle on comptait Mohamed Belouizdad, Ahmed Ben Bella et Hocine Aït Ahmed, ndlr). C'est moi qui suis allé le voir le voir à Chelghoum Laïd et qui lui ai proposé un poste de responsabilité politique de wilaya - au sein du FLN, ndlr - à Béjaïa.

Il y a des réactions à ce sujet qu'on vous soumettra Beaucoup de ripostes à vos accusations
Je sais. Mais c'est pour cela que j'ai tenu à ce que certaines choses restent dans l'ombre Et le cas Abane est un échantillon de ces secrets qu'on ne gagnait pas à lever Mais aujourd'hui on le dit

Donc c'est lui, Abane, qui a envoyé les trois émissaires à San Remo pour le compte du gouvernement français ?
Il était en relation avec le gouvernement français. Peut-être de façon indirecte, mais il était en relation. C'est lui qui a envoyé les émissaires à San Remo. C'est de lui qu'est venue la proposition qui m'a été faite.

Ce qui a donc conduit, comme l'a dit Lakhdar Bentobal dans son témoignage, à neutraliser Abane Ramdane puis à l'exécuter au Maroc, avant qu'on ne dise, officiellement, qu'il est mort au champ d'honneur (Abane Ramdane a été assassiné le 27 décembre 1957 à Tétouan, au Maroc, ndlr). Passons aux réactions : les quotidiens El Ahrar, El Khabar et El Fedjr ont publié le point de vue de Hocine Aït Ahmed qui revient sur le rôle de Abane Ramdane et qui vous répond sur la personnalité de Abane ainsi que sur le rôle du Congrès de la Soummam. Quel commentaire faites-vous de l'opinion de Aït Ahmed ?
J'ai lu ce qu'a dit Aït Ahmed. Je respecte l'homme et je n'en attendais pas autre chose en réalité : il était avec le Congrès de la Soummam. Ce n'est pas nouveau de sa part.

Le Congrès de la Soummam est vu néanmoins comme l'évènement qui a jeté les bases de l'indépendance en Algérie. J'ai devant moi les propos de la porte-parole du gouvernement, Mme Khalida Toumi, qui a répondu le 6 novembre dernier à la presse n'avoir pas de commentaires sur les accusations de Ben Bella contre Abane Ramdane et contre le Congrès de la Soummam qu'il considère comme un acte de déviation de la Révolution, que les déclarations de Ben Bella relèvent de la liberté d'expression et que l'histoire restait à écrire par les spécialistes. Mais elle souligne que le Congrès de la Soummam, et cela est important car il traduit la position officielle du gouvernement, est le congrès constitutif de la République algérienne, qu'il a donné le programme premier pour la lutte de libération et qui fut notre arme essentielle. C'est pour cela, a-t-elle dit, que nous l'assumons. Cette position officielle a été exprimée par la porte-parole du gouvernement. Nous avons souhaité avoir sa participation dans l'émission mais elle nous a fait parvenir une lettre d'excuse officielle.
Je suis tranquillisé par le fait que cette soeur ministre fait partie d'un gouvernement dont l'objectif principal est la concorde nationale. Mais j'ai une réponse à ses dires. Quand elle dit que le document de la Soummam est « le texte fondateur de la République », quand elle dit qu'il a inspiré la politique de l'Etat indépendant et le style gouvernemental, cela est faux. Et je vais démontrer en quoi cela est faux. Nous avions toujours mis en garde à l'époque sur le fait que les institutions de l'Etat futur ne devaient pas être en contradiction avec les valeurs islamiques. Et il y a, de ce point de vue, un seul document qui a inspiré les outils de base de gouvernance

Quel est donc ce document fondamental ?
Celui du 1er Novembre 1954.

Vous voulez dire que le document du 1er Novembre est la référence de base qui remplace toutes les autres ?
C'est la plus importante référence, celle qui, en tout cas, prend le pas sur tout ce qui est venu après.

Donc, vous répondez à la porte-parole du gouvernement (Mme Khalida Toumi) et vous lui dites que la référence essentielle de la République est le document du 1er Novembre et non pas le Congrès de la Soummam
Oui et puis ceci : le sang. L'histoire de l'Algérie s'est écrite par le sang Il n'y a pas une seule histoire de libération en Algérie. Il y a eu des vagues successives de libération depuis le début de la colonisation. A commencer par celle de l'Emir Abdelkader qui vient d'une zaouia religieuse attachée aux valeurs de l'@!#$. Puis les Ouled Sidi Cheikh qui a pendant vingt ans combattu le colonialisme, avec l'épopée de Cheikh Bouamama. Et même en Kabylie, il faut le noter, le combat d'El Mokrani et de Cheikh Belhaddad dont l'action a été décisive contre l'occupant français. Tous ces meneurs de combats étaient guidés par l'@!#$. Aucun pays arabe ne s'est autant inspiré de l'@!#$ pour se libérer comme l'a fait l'Algérie. Comment résumer l'histoire du sang en une feuille blanche, un « document fondateur » ? C'est l'@!#$ qui a fait sortir le colon français du pays, ce n'est pas moi. Il y a eu sept millions et demi de martyrs, selon les propres témoignages des historiens français. C'est l'@!#$ qui a été le moteur de la Révolution. C'est l'@!#$ qui fut l'étendard de la Révolution. C'est l'@!#$ le vrai texte fondateur de la Révolution. Qui suis-je aujourd'hui en tant qu'Algérien ? Un musulman. Un arabe. Un amazigh arabisé

Donc, vous détruisez l'argument de Mme Khalida Toumi, porte-parole du gouvernement, selon lequel le Congrès de la Soummam a été la référence principale de la Révolution
Oui et je le maintiens. La référence principale est le document du 1er Novembre qui stipule que l'action révolutionnaire et la construction de l'Etat indépendant doivent se réaliser sans s'opposer aux principes islamiques.
Transcription et traduction : Mohamed Benchicou

* Les annotations NDLR sont des précisions de la rédaction
Demain : II. « Abane a assassiné des chefs militaires »


Le Matin 17-01-2003
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Quelques autres vérités

Suite aux déclarations de Ben Bella sur la chaîne de télévision El Jazira, et que vous avez reprises, déclarations selon lesquelles Abane Ramdane, véritable cerveau de la Révolution algérienne, ne faisait pas partie de l'Organisation spéciale ou secrète l'OS, je vous prie d'insérer cette mise au point à l'endroit de Ben Bella. Premier dictateur algérien, et je l'informe 50 années après que le défunt chahid Abane Ramdane était responsable de l'OS dans la vallée de la Soummam - aux environs de Tazmalt de 1947 à octobre 1950 plus précisément le 2 octobre étant petit-fils, de M. Naït Benali Mohamed Saïd, responsable de la cellule de Tazmalt, composée de 27 personnes arrêtées le 2 octobre 1950 avec un adolescent, Aït Benali Amrane, tombé au champ d'honneur quelques années plus tard. D'autres cellules de l'OS existaient dans toutes les localités à l'exemple de celle de Takerboust, non démantelée par l'armée coloniale, je vous cite les noms des personnes arrêtées avec Abane Ramdane : Abane Ramdane, Ali Pacha Rachid, Titouah Makhlouf, Middouche Lakhdar, Amrouche Mouloud Assoul dit Assal Larbi, Radjel Mohamed Tahar, Saïdi Rabah, Redjal Beja, Mikirène Mohamed, Mahia Rabah, Naït Benali Mohamed- Saïd, Boudraâ Arab, Ziri Mohamed-Akli, Ould Abderrahmane Mohammed-Cherif, Boudjemâa Ahmed, Oulebsir Mohamed-Larbi, Souak Cherif, Merad Mohamed-Tahar, Droua Ahmed, Zira Mohamed, Ifiriche Aïssa, Hamidouche Kaci, Lebsir Mohamed Ben Bachir, Kenoun Saïd dit Kroun et Boudjemâa Amar.
Selon les informations recueillies auprès de nos familles, les membres de l'OS arrêtés à Tazmalt emprisonnés à la prison d'Akbou puis transférés sur Bougie (Béjaïa), jugés et condamnés puis emprisonnés à Serkadji en compagnie d'Ahmed Zabana - premier guillotiné de la Révolution - ils furent condamnés par la cour d'appel d'Alger puis transférés en France à Pas-de-Calais (dans le cas de mon grand-père Naït Benali Mohamed-Saïd).
Il est tout à fait évident et totalement naturel qu'un homme comme Ben Bella n'ait pas connaissance des activités d'un homme comme Abane Ramdane sachant que c'est à des gens comme lui que s'adressait Abane en leur disant, je cite : « Les révolutionnaires de salon », planqués en Egypte, en Suisse ou à Paris en attendant la tarte Algérie.
Je vous informe que deux membres de l'OS sont à ce jour vivants et peuvent apporter des témoignages sur Abane Ramdane et son activité dans l'OS. Il s'agit de Titouah Mekhlouf (vivant à Tazmalt) et Bouda Arab (vivant à Tazmalt aussi).
Chebbi Nabil, Béjaïa

La suite des révélations de Ben Bella paraîtra dans notre édition de mardi.

Chebbi Nabil, Béjaïa
19-01-2003

Le Matin du 20/01/03

 Sujet Auteur  Date
 Ben Bella et son Histoire  nouveau
Amirouche 2003-01-20 12:20:09 
 Re: Ben Bella et son Histoire  nouveau
al djazaïri 2003-01-23 09:58:50 
 Qui sait !!  nouveau
Amirouche 2003-01-24 12:47:15 
 Re: l histoire temoineras  nouveau
Hmimi 2009-04-13 23:02:05 
 Suite  nouveau
Amirouche 2003-01-24 12:59:15 
 Il se disait Berbère aussi !!  nouveau
Amirouche 2003-01-28 02:01:41 
 Re: RESPECT  nouveau
chaoui horr 2007-04-14 21:46:32 
 Re: l histoire temoineras  nouveau
SAADI MAHIEDDINe 2008-03-28 15:03:52 
 Re: Suite  nouveau
Amirouche 2003-02-01 12:50:06 
 Re: Suite  nouveau
Salim 2004-07-16 19:49:57 
 hommage aux lions oublié  nouveau
mahia samir dis hakim 2005-04-07 13:14:31 
 Re: hommage aux lions oublié  nouveau
chebbi nabil de tazmalt 2005-06-11 21:02:52 
 Re: hommage aux lions oublié  nouveau
othmane 2005-08-31 21:22:26 
 Re: hommage aux lions oublié  nouveau
lam 2005-10-31 10:49:05 
 Re: hommage aux lions oublié  nouveau
said 2005-11-06 20:33:53 
 RESPECT  nouveau
ABDELKADER HABIB ANNABA 2005-12-07 16:39:40 
 Re: RESPECT  nouveau
SADI 2006-09-26 21:52:58 
 Re: RESPECT  nouveau
rachid khier 2007-06-13 15:04:41 
 l histoire temoineras  nouveau
moussa 2007-11-26 17:13:26 
 l histoire temoineras  nouveau
moussa 2007-11-26 17:20:24 

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