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Interview du Webmestre sur France3
 bof...à verifier
Auteur: said hamidouche 
Date:   2004-08-05 22:45:49

""La Constitution nationale falsifie I’identité et I’histoire de I’Algérie, de tous les pays et de tous les peuples concernés par I’utilisation du mot artificiel AI amâzîghiyyatou. D’abord et avant tout Tamâzîght est I’affaire du Maroc et du Maroc seul comme Tamâhaq est I’affaire de I’Algérie et Tamâcheq du Mali. Tamâjeq n’est pas issue de Tamâzîght comme le français, l’est du Latin ou le Latin l’est de indo-européen. La seule facon de retrouver la langue prototype est de la reconstruire. L’emploi de Tamâzîght comme langue mère comme c’est le cas dans la Constitution nationale est une falsification extrêmement grave de I’histoire. Tamâzîght est une langue arabe contemporaine pratiquée au Maroc Central qui a subi des transformations énormes depuis I’apparition de I’islâm contrairement à la langue du @!#$ qui est resté stable. AI amâzîghiyyatou est une falsification deguisée des preuves irréfutables de I’identite arabe, causée par le programme colonial qui est purement idéologique. L’arme la plus dangereuse du programme colonial est la négation de I’existance de I’article défini qu’il nomme pronom d’appui. Malheureusement aucun pays ( les pays arabes en géneral et ceux du Maghreb en particulier ) parmi ceux qui sont concernés n’a essayé de détruire ledit programme et de le remplacer par un programme scientifique, objectif et constructif pour I’enseigner à ses enfants afin de les immuniser et de les rendre de bons citoyens. La destruction du programme colonial est un pas légitime et nécessaire pour I’achevement de I’indépendance national. L’example de la Constitution nationale est idéal pour nous d’atteindre cet objectif. II déguise les éléments grammaticaux historiques indéniables de I’identité arabe comme le veut le programme colonial. En placant l’article défini de l’arabe classique al et en suffixant iyyatou au nom amâzîgh, la constitution nationale falsifie et transforme comme le veut le programme francais deux éléments grammaticaux en une racine fictive composée de tois consonnes : mzgh ( m, z, gh ) et interprête le a initial de ( a-mâzîgh ) comme alif prothetique qui en plus de l’allongement du a dans mâ-zîgh sert comme marque du pluriel fractus indéfini de I’arabe classique.

II faut savoir que le A de A-mazigh est historiquement I’article défini qamarique al et il est extrêmement important de connaître cet historique pour comprendre le changement général de la structure de I’arabe préislamique ( berbère ). Nous avons deux sortes d’arabe. L’un préislamique en pleine mutations, I’autre islamique fixé grammaticalement et protegé politiquement. Alors que La grammaire islamique a bloqué le changement de l’article défini au stade chamsique ( le chamsique est la loi d’assimilation du lam a toutes les consonnes apicales ), I’article défini al de I’arabe préislamique continue de changer librement et le lam qamarique qui ne s’assimile pas au q et aux autres consonnes non apicales a disparu a son tour par le déplacement de I’accent principal vers la fin du mot. Le alif dépourvu de son accent a fusionné avec le mot déterminé. Finalement I’article proclitique a s’est assimilé au t final marque du féminin. Voici le passage illustré de I’article défini qamarique ( al mouaqqarou ) au chamsique ( arrikzou : argâz ), au postchamsique ( amghâr ) et au métapostchamsique ( tamghârt ). Le k dans arrikzou est passé au g dans argâz et le q dans al mouaqqarou est passé au gh dans amghâr et tamghârt. Les formes obtenues par I’article défini soudé : argâz, taqchicht ( al qichchatou en arabe classique ) s’assimileront par analogie selon le contexte aux formes similaires arabes. Ainsi argâz s’assimile à la forme du pluriel fractus indéfini af ?âl ( aqlâm des stylos ) et reste singulier malgré sa forme de pluriel. Argâz signifie un homme et pas des hommes et taqchicht s’assimile a taf ?ilat, ismu al marrati, nom féminin indéfini alors que taqchicht est défini. Même processus d’assimilation pour amghâr que pour argâz qui est composé de trois éléments grammaticaux : a+m+ghr au lieu de deux :a+rgz, alors que tamghârt féminin est assimilée à la forme taf ?âlt ismou al ouahdati,examlpe : tal ?âbat. Les assimilations des formes nominales définies aux formes nominales indéfinies sont tirées du dictionnaire mental et devenues realitées dans la pratique sociale.

L’assimilation des formes définies affaiblies aux formes indéfinies ont rendu l’article défini proclitique encore plus faible. L’accent d’intensité ( chadda ) au chamsique devient accent de longueuer ( madda ) au postchamsique. La distinction qamarique chamsique n’existe plus en arabe préislamique.

Le nom amâzîgh se compose de trois éléments grammaticaux :

A : article défini proclitique, c’est-à-dire qu’il forme une unité phonitique avec mâzigh auquel il s’est soudé.

M : marque d’ism maf ?oul, c’est-à-dire un nom déverbal.

ZGH : racine qui donne la base lexicale, et comme le nom amâzîgh possède le sens de ne pas se mélanger, la notion de pureté saute aux yeux, cette notion sémantique culturelle et mentale arabe, nous la retrouvons exprimée par les termes hurr, qouh, zakiy, asîl,.... donc zgh ne peut -être autre chose que la racine zk donc A- mâzîgh est mouzakkâ de I’arabe classique, la consonne k est confirmée par le nom historique de tribu Mazikes ( le s est la marque du pluriel indo-europeen ) donc mouzakkawna en arabe classique et imâzighan actuellement. Imâzighan signifie plutôt étymologiqement les nobles, libres est une extention de sens.

AI amâzîghiyyatou se compose de deux articles définis : al et a pour dissimuler I’article défini postchamsique, de seux racines I’une fictive m,z.gh pour camouler le m marque de I’adjectif verbal et la racine réelle zgh.

Les deux lois de changement sans lesquelles, il est impossible d’analyser porteront également mon nom :

La loi postchamsique ou la première de Bettaz

La loi métapostchamsique ou la deuxieme loi de Bettaz

Les noms qui ne comportent aucune difficulté pour un élève arabophone de quatorze ans et que j’ai cités pour illustrer mes deux lois de changement sont jugés par les berbèrologues sans exception d’être inéxistants dans les dictionnaires arabes. C’est facile à verifier dans les travaux des berbèrologues et dans les lexiques arabes. ""

Très respectueusement,

Abdelkrim Bettaz,

Linguiste.

 Sujet Auteur  Date
 bof...à verifier  nouveau
said hamidouche 2004-08-05 22:45:49 
 Re: bof...à verifier  nouveau
Mohand 2004-08-06 21:00:37 
 Re: bof...à verifier  nouveau
said hamidouche 2004-08-07 12:48:47 
 Re: bof...à verifier  nouveau
Mohand 2004-08-07 21:36:48 
 Re: bof...à verifier  nouveau
Raoul WEISS 2004-12-04 14:20:43 

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