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Le Blog
Interview du Webmestre sur France3
 Paru dans le Quotidien d'Oran du 04/04/2001
Auteur: Webmestre 
Date:   2001-04-11 14:56:31

De Saint Augustin aux moines de Tibherine

Bouteflika ranime la communauté chrétienne

La reconnaissance officielle de Saint Augustin va-t-elle permettre de recoller les morceaux de la communauté chrétienne en Algérie ? La réhabilitation voulue par le Président Bouteflika tend à rassurer l'église d'Algérie, toujours aux prises avec le cauchemar de Tibherine, qui a provoqué une polémique franco-suisse inattendue.

Le colloque organisé en grande pompe à Alger a surpris les politiques et hommes d'église européens de par son aspect audacieux. Saint Augustin (354-430), fils de Tagaste, évêque d'Hippone et auteur des "Confessions", aura permis de réconcilier les Algériens avec leur histoire préislamique mais a surtout redonné de l'espoir à une communauté chrétienne, exsangue par le drame des sept moines trappistes-cisterciens de Tibherine, et qui a perdu 20 pères et religieux entre 1994 et 1996, victimes d'attentats du GIA.

Mgr Henri Tessier, archevêque d'Alger et membre du comité d'organisation du colloque, sous l'égide du HCI, a récemment indiqué à Radio Vatican qu'il ne fallait pas "regarder ce colloque uniquement par rapport aux relations islamo-chrétiennes, mais par rapport à l'Algérie d'aujourd'hui: celle-ci manifeste qu'Augustin fait partie du patrimoine national, de l'histoire du pays".

Il est indéniable que le Président Bouteflika a pris un risque politique insigne, puisque le parrainage de ce colloque a considérablement irrité les milieux islamistes et conservateurs, reclus sur le thème historique des ravages de l'église colonialiste.


Car cette ouverture sur l'histoire "chrétienne" de l'Algérie a concrétisé une démarche initiée en août 1999 par le déplacement de Bouteflika à Rimini, lorsqu'il faut invité par l'association catholique "Communione e Liberazione", puis à Rome, par une audience remarquée accordée par Jean Paul II au coeur même du Vatican. Les rapports entre l'église romaine et l'Algérie s'étaient considérablement dégradés en 1994, suite à "l'ingérence" de la petite communauté catholique de Sant'Egidio dans les affaires algériennes, qui a organisé la fameuse rencontre romaine entre partis politiques algériens, qui a débouché sur une plate-forme politique signée par l'ex-FIS, le FFS, le MDA et le PT, rejetée sans équivoque par Alger.

Ciblée par le terrorisme, la minuscule communauté chrétienne demeurée en Algérie allait perdre ses plus opiniâtres défenseurs, dont Mgr Claverie, assassiné à Oran, puis Mgr Léon-Etienne Duval, cardinal d'Alger, décédé trois années après. Se sentant orpheline de ses représentants, poussée à choisir entre l'exil et la mort, le communauté chrétienne avait, courageusement, opté pour demeurer en Algérie. Une attitude qui n'est pas sans rappeler l'engagement de Mgrs Duval, Scotto et Tessier en faveur de la lutte de libération nationale, celle d'une église d'Algérie saluée lors de ce colloque, et dont le distinguo habilement fait par Bouteflika par rapport à l'image désastreuse de l'église colonialiste de Lavigerie, par exemple, tend à réconforter.

Reste que cette "réconciliation" annoncée ne semble pas ravir une partie de la presse française. Ce sont les Suisses qui ont d'ailleurs souligné la "partialité" française dans le traitement du colloque de Saint Augustin à travers des articles - "24 Heures" et "Courrier de Genève" -, reprochant aux Français d'insister plus sur le drame de Tibherine et "l'impossible retour" des moines de l'ordre des cisterciens (les trappistes) que sur le pas considérable franchi par un Etat musulman.

Il est à signaler que ce colloque s'est davantage fait avec les universitaires suisses de l'université de Fribourg, avec la collaboration de l'institut Augustianum de Rome, qu'avec l'église française. Le ministre suisse des Affaires étrangères, Joseph Deiss, a d'ailleurs fait le déplacement en personne, discourant avec finesse sur l'idée de la "Pax et Concordia" (paix et concorde), dans une analogie chère à Bouteflika.

Le colloque consacré à Saint Augustin, père des Luthériens (réformateur protestant allemand), a ainsi trouvé un écho considérable auprès des Autrichiens, Allemands et Suisses et même Italiens, qui ont soutenu l'idée d'une telle rencontre depuis son origine, qui aura permis aux Algériens de transcender une intolérance qui n'avait que trop duré: "Saint Augustin, pensait-on confusément ici, concernait les Français, et cela en raison d'une confiscation plus ou moins consciente qui refait parfois surface", a indiqué Serge Lancel, un des chercheurs communicants dans ce colloque, ajoutant que "l'Algérie actuelle est prête, non pas à accepter Saint Augustin, mais à le revendiquer, débarrassé de tout maquillage".

En prenant la tête de cette "revendication", Bouteflika prend le contre-pied de ses adversaires qui l'accusent de céder délibérément du terrain aux forces conservatrices (comme ce fut le cas, toute proportion gardée, du cas Macias). Après avoir renoué avec les femmes algériennes et la promesse de réviser le code de la famille, il renoue, à travers ce colloque, avec la vision d'une société algérienne moderne, ouverte sur le monde extérieur, avec son histoire séculaire et surtout sa minorité religieuse, comme ce fut le cas avec les Juifs d'Algérie. C'est également une immense consolation pour ceux, de la communauté chrétienne, qui sont demeurés en Algérie.

Mounir B.

 Le même jour dans le même quotidien
Auteur: Webmestre 
Date:   2001-04-11 14:58:21

Le Père Borges au "Quotidien d'Oran"

"Saint Augustin était un homme de dialogue"

Le père Lucien Borges vit en Algérie depuis 30 ans. Il est le recteur de la basilique de Saint Augustin, à Annaba. Membre du comité de préparation du colloque international sur Saint Augustin, il revient ici sur les idées universelles de ce philosophe, et propose, du coup, la création d'un centre d'études augustiniennes à l'université d'Annaba, où la famille augustinienne compte déjà une bibliothèque.

Le Quotidien d'Oran: Père Borges, comment percevez-vous la notion d'universalité chez Augustin ?

Le Père Borges: C'est une question à laquelle le colloque consacre bien deux journées... Les conférenciers proposent une lecture littéraire des dialogues de Saint Augustin, qui sont, aussi, faut-il le dire, ses premières oeuvres. Saint Augustin fait preuve d'une authentique méthode ancienne (au sens de méthode des philosophes grecs), qu'on peut considérer, déjà, en soi comme une ouverture vers l'universalité. Il puise dans une tradition: le dialogue. C'est à ce niveau que se situe, pour lui, cette notion d'universalité: trouver, dans les valeurs, des traditions. Il entre dans les perspectives des autres et les fait siennes. C'est aussi un professeur qui a beaucoup de respect pour ses élèves. La question peut être traitée d'un point de vue mystique ou philosophique... "Qu'est-ce qu'on voit ?", s'interroge-t-il.

M. Grazia Mara, spécialiste italien des dialogues de Saint Augustin avec Dieu, s'est aussi penché sur cette question en essayant de mettre en valeur la relation de dépendance qui lie l'homme à Dieu, selon Saint Augustin, créature de Dieu, mais libre et responsable. Des valeurs universelles comme la grâce, la providence mettent en perspective la question de l'humanité d'un point de vue anthropologique. L'homme n'est pas une bête parmi les autres. Saint Augustin partage ces valeurs avec toute autre tradition, et en particulier avec l'islam. C'est pourquoi, M. Bouamrane a fait référence à cette problématique chez Ibn Rushd, et les Mou'taziline, cette école des premiers philosophes musulmans au VIIIe (avant la fermeture de la porte d'El Idjtihad).



Q.O.: A un moment de sa vie, Saint Augustin, alors évêque de l'Eglise d'Afrique, s'est opposé à Rome. De quelle nature était ce différend ?

Le P.B.: Le problème s'est toujours posé avec le centralisme de Rome. Originellement, toutes les églises sont indépendantes, et les catholiques, mais le centralisme de Rome... Le problème était: comment respecter les différences dans l'unité et la communion ?

C'est là que Saint Augustin a pris la défense de l'Eglise d'Afrique, à travers la question du pelage: "Est-ce que l'homme est capable avec ses propres moyens de faire le bien ?". Rome disait que oui, quand l'Afrique du Nord disait non, en ce sens elle a toujours lutté pour son indépendance. Son point de vue sera d'autant plus vrai que le pape lui donnera raison plus tard.



Q.O.: Quels étaient les arguments de Saint Augustin ?

Le P.B.: Saint Augustin puise son argument fondamental dans la volonté humaine, affaiblie après le péché d'Adam, mais pas totalement détruite. La grâce ouvre le chemin vers le bonheur...



Q.O.: C'était la "Cité de Dieu" ?...

Le P.B.: Bien sûr ! La Cité de Dieu, c'est cette émergence dans les conditions humaines de cette possibilité de pouvoir être épargné en faisant le bien aidé par la grâce de Dieu. Si on s'en tient à cela, le combat est en nous, le mal et le bien sont en nous, dit S.A. Nous sommes en lutte. A ce moment-là, qui va gagner en moi ? Comment le bien peut-il gagner en moi ? Là, l'acte de volonté est déterminant. Saint Augustin disait dans la "Rémission des péchés: "La grâce est donnée non pas pour détruire la volonté, mais pour qu'elle la soutienne dans son effort afin d'éviter le mal et le bien". C'est là qu'on rejoint les Mou'taziline.



Q.O.: Lors de cette seconde journée, il a beaucoup été question de Saint Augustin dans ses rapports au pélagianisme, le donatisme et le manichéisme. Pouvez-vous revenir là-dessus ?

Le P.B.: Dans l'intervention du professeur Wermlinguer, j'ai remarqué deux choses: la communication, les lettres de Saint Augustin. Cela prouve quoi ? Qu'il y a un réseau de correspondances. Augustin est connu pour ça, l'homme qui fait savoir exactement comment sont les choses, qui étudie, qui s'informe. Il n'est pas l'homme des préjugés. Il sait reconnaître ses erreurs. La polémique qu'il a eue avec les pélagiens lui a permis d'affirmer et ses conceptions philosophiques et ses conceptions théologiques sur le vouloir humain. Contre les Manichéens, il admet que la nature est bonne, mais il faut déterminer les conditions de la pratique de cette bonté à l'intérieur des gens. Consciemment, notre nature est bonne, mais après le péché originel, elle n'a plus la possibilité de mettre cette bonté en pratique. Concernant les Manichéens, le professeur Johannes Van Ort a souligné l'idée de la Lumière qui est très importante. Le Manichéisme était un syncrétisme entre la religion chrétienne et la sagesse orientale, ce que nous appelons techniquement une "gnose", un savoir ésotérique. Ce qui intéressait, cependant, Augustin, c'était le problème du mal. D'ailleurs après 30 ans de bataille, il arrive dans la Cité des Dieux, et déclare que le mal c'est les mauvaises volontés, quand les Manichéens soutiennent l'idée selon laquelle le mal est un principe des ténèbres. La volonté est malade, dira alors Augustin, mais elle n'est pas morte. La vraie Lumière, pour lui, devient alors lectrice...



Q.O.: Ne trouvez-vous pas paradoxal, Père Borges, que le colloque soit initié par des Algériens, et qu'il soit animé par des Occidentaux ?

Le P.B.: L'idée fondamentale, au départ, quand le président de la République nous a proposé d'organiser ce colloque, était de parler de Saint Augustin. Et ce n'est pas un colloque islamo-chrétien, loin de là. N'oublions pas, non plus, que Saint Augustin a été caché, des années durant, des gens l'ont bien dit dans la salle, et beaucoup d'universitaires algériens ne le connaissent pas. Je pense qu'il faut partir de là pour que tout le monde puisse comprendre: parler de Saint Augustin, pour Bouteflika, revient à réhabiliter ce dernier avec un courage extraordinaire. La charte nationale algérienne résume la période qui précède l'islam en 10 lignes où le christianisme n'apparaît même pas. Moi-même, j'ai déjà écrit dans la presse algérienne que l'intelligentsia algérienne considérait Saint Augustin comme un défenseur de l'impérialisme romain et comme la force conservatrice qu'était l'Eglise catholique.

En Algérie, on ne le connaît pas, quand nous, en Europe, nous avons du mal - non pas à trouver des spécialistes de Saint Augustin - mais à limiter la liste des participants. Dites-vous bien qu'il nous a fallu 4 mois pour trouver un spécialiste algérien qui accepte d'intervenir dans ce cadre, le Pr Malti, en l'occurrence. J'ai proposé, pour ma part, la création d'un centre d 'études augustiniennes à l'université de Annaba. J'espère que mon idée sera retenue...

Djamel Amrouche

 Re: Paru dans le Quotidien d'Oran du 04/04/2001
Auteur: Mohamed 
Date:   2001-07-14 17:31:54

AUGUSTIN est un ROMAIN de mère dit-on AMAZIGH, ce qui reste à prouver. Le revendiquer, revient aujourdhui à revendiquer ORTIZ, LAGAILLARDE, BORGEAUD, BLACHETTE et DE SERIGNY pour ne citer que les plus célèbres, et avant eux les HARKIS musulmans arabes et Berbères. Y voit-on subitement un inconvénient?
AUGUSTIN est un père de l'EGLISE, il a choisi son camp en son temps, sa patrie et son lieu d'inhumation. Laissez le dormir en PAIX, et rencontrer son Seigneur. De son temps, l'Islam révélé à Sidna Muhamad SAAWS, n'avait encore pas été révélé, quoique les EVANGILES et la BIBLE l'aient été, mais ce qui différencie notre approche de la doctrine augustinienne, et là je ne dirai pas du Christianisme enseigné par l'Envoyé d'ALLAH, Jésus,-AS- fils de MARIE, souffle d'ALLAH, c'est que le CORAN nous dit que ALLAH est UN et n'a point d'égal, n'a pas été engendré et n'a pas eu de FILS, alors qu'Augustin a enseigné le contraire, y compris de ce que disent les EVANGILES et la BIBLE. "Ton DIEU est UN" "Tu ne prendras point d'autre Divinité que Lui". En conséquence, Rassoul ALLAH, SAAWS-, n'a pas eu à JUGER les Chrétiens, mais Leur a délivré le Message qu'ils attendait, et le Témoignage que JESUS, AS- Fils de Marie, Esprit d'ALLAH, avait annoncé à PONCE PILATE et au Sanhédrin, "Ma preuve n'est pas de ce Monde, viendra du désert un descendant d'Ismaël, fils d'un serviteur de Dieu (Abdullah), et d'une croyante (Amina), un homme Loué (Mouhamad); il confirmera ma prophétie etc.." J'ai bien sûr paraphrasé l'Evangile selon BERNABEU-
AUGUSTIN chrétien ? Oui, Disciple de Jésus ? Pas si sûr...
Algérien Amazigh: Certainement NON, sinon pourquoi SUSINI et les enfants de SALAN, MASSU et autres centurions modernes, nés en ALGERIE, ne le seraient-ils pas par application de la Loi du SOL?
Le DEBAT est donc un FAUX débat auquel le PAPE dans sa Grande SAGESSE a répondu: "St. AUGUSTIN appartient à l'EGLISE."
Aujourdhui, tournons-nous vers l'avenir et éludons les débats qui fâchent, sans occulter ni travestir l'Histoire. La TERRE appartient à DIEU, et tous les hommes ont droit d'y vivre et de s'y constituer en communautés et nations vivantes, unies par un socle fondé sur des liens tissés par la communauté d'intérêts, religieux ou sociaux ou ethniques, ou simplement décidés à entreprendre ensemble et à s'accepter et s'enrichir mutuellement de leurs différences, de leurs aptitudes et de leur volonté de solidarité.
CELEBRATION pour célébration, pourquoi ne célébre-t-on pas aussi la pénétration du message de l'Islam en Ifriquya? Au fait peu-t-on me dire qui, quand, et comment sommes-nous devenus non seulement musulmans, mais ses meilleurs interprètes et défenseurs sinon ses plus grands diffuseurs, TARIK... Mais apparemment cette partie de l'Histoire n'intéresse pas grand monde parmi les Historiens de la renaissance du Christianisme en BERBERIE. Le retour à la KAHINA à AUGUSTIN n'est pas sans arrière-pensées...

 Re: Paru dans le Quotidien d'Oran du 04/04/2001
Auteur: totocapt 
Date:   2003-07-19 17:49:05

On fait la différence entre @!#$ et disciple de Jésus? Ridicule! C'est bon pour des intégristes ça! Tu n'as qu'à lire ce passage de Saint Augustin en entier pour t'en rendre compte!

"...« Vous êtes grand, Seigneur, et infiniment louable (Ps, CXLIV, 3) ; grande est votre puissance, et il s n’est point de mesure à votre sagesse (Ps. CXLVI, 5). » Et c’est vous que l’homme veut louer, chétive partie de votre création, être de boue, promenant sa mortalité, et par elle le témoignage de son péché, et la preuve éloquente que vous résistez, @!#$ que vous êtes, aux superbes (I Petr. V, 5 )! Et pourtant il veut vous louer, cet homme, chétive partie de votre création! Vous l’excitez à se complaire dans vos louanges; car vous nous avez faits pour vous, et notre coeur est inquiet jusqu’à ce qu’il repose en vous.

Donnez-moi, Seigneur, de savoir et de comprendre si notre premier acte est de vous invoquer ou de vous louer, et s’il faut, d’abord, vous connaître ou vous invoquer. Mais qui vous invoque en vous ignorant? On peut invoquer autre que vous dans cette ignorance. Ou plutôt ne vous invoque-t-on pas pour vous connaître? « Mais est-ce possible, sans croire ? Et comment croire, sans apôtre (Rom. X, 14) ? » Et: « Ceux. là loueront le Seigneur, qui le recherchent (Ps. XXI, 27). » Car le cherchant, ils le trouveront, et le .trou vaut, ils le loueront. Que je vous cherche Seigneur, en vous invoquant, et que je vous invoque en croyant en vous; car vous nous avez été annoncé. Ma foi vous invoque, Seigneur, cette foi que vous m’avez donnée, que vous m’avez inspirée par l’humanité de votre Fils, par le ministère de votre apôtre..."

 Re: Paru dans le Quotidien d'Oran du 04/04/2001
Auteur: djalil 
Date:   2005-11-27 19:05:26

je ne comprends pas cette eglise romaine qui ne reconnait pas ses propre freres en christ convertis depuis onze ans chretien catho vivant en france je me suis entendu refuser le seminaire de frejus toulon pour la seul raison que les fideles pied noires ne le suporteraient pas le christ ne serait pas monté sur la croix pour eux je pense en outre c'est un comble que l'église d'algerie n'ait aucun algerien de culture de souche bizad je pense que cette structure n'est pas a ça place je ne manquerais pas d'arguments devant ses eveques qui sont comme vous et moi

 Re: Paru dans le Quotidien d'Oran du 04/04/2001
Auteur: keazy 
Date:   2006-12-19 09:15:46

Il faut dire que Bouteff a le don de surprendre en disant la chose et son contraire et celà tout le temps....
amitiés

 Re: Paru dans le Quotidien d'Oran du 04/04/2001
Auteur: thirga 
Date:   2008-09-29 10:56:38

Dix ans apr�s, retour au point de d�part. Une vente concomittante des plus abjectes: se r�approprier circonstanciellement un St Augustin pour d�rouler le Tapis de la repentance aux pieds de ceux qui continuent � massacrer leurs propres freres. Toute cette com�die pour avoir la b�n�diction et le prix Nobel de la Paix de l'Occident.
Berbere est n� St Augustin, il a v�cu sa vie d'humain croyant en son @!#$, en M�diterran�en et en Africain.
PS: Je ne trouve pas d'allusion � St Augustin chez Ibn Khaldoun.

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