Auteur: tabeksist
Date: 2001-08-30 21:54:31
comme je te comprends chère soeur. Je suis moi-meme aux aboies devant cette sécheresse. Je ne sais qui prier, qui implorer, qui supplier. Je ne sais que faire. Je me desséche peu à peu et bientôt je serai dure comme du bois. Aucune bouche, aucun palais ne pourra goûter ma saveure unique. Ah si seulement mes amis berbères pouvaient quelque chose! mais que peuvent-ils? Ils sont occupés à se réunir à n'en plus finir, pour demander un peu de pétrole aux quelques priviligiés qui en ont. Ah chère soeur, nos berbères nous délaissent, ils veulent des bananes et du kiwi, des mangues et du litchi. espérons que le seigneur nous entend et daigne nous sortir de ce péril.
|
|