Auteur: enquelquesmots
Date: 2005-01-10 16:32:34
Cette histoire est celle du "rat des villes" et du "rat des champs" des rives ancestrales. Compliquée, revue et corrigée par le rat-beur. c'est encore un autre phénomène celui-là. Parce que le rat-beur depuis son nouveau et tout chaud statut d'intégré aux "taupes évoluées de la république", regarde de haut le "rat des villes" des rives ancestrales. Par exemple le rat-beur pense qu'il est plus évolué que le plus évolué des algérois. Il est bourré de complexes, il ne parle pas la langue des villes, ni celle des champs. Il gigote en écoutant les airs vulgaires du RAÏ. Il est surtout aux antipodes de la spiritualité de ses ancêtres pieux. Chez lui tout est vécu avec ostentation. Même la laïcité. Ceux de kabylie quand ils débarquent chez leurs cousins de France se mettent à réagir par mimétisme, comme lui. Ils veulent à tout prix se beurrer. A défaut de partager les dividendes culturelles avec le cousin d'Alger, ils accaprent le beur. La "race arabe" devient leur cheval de bataille, à tous. En particulier les beurettes qui s'enfournent les prépuces des taupes-mâles. En résumé le berbère de kabylie a toujours été infériorisé par le berbère d'Alger, ce dernier ayant réussi en ville. En émigrant eu europe (plus particulièremet en France) le berbère des montagnes a enfanté des générations-beurs qui s'imaginent supérieures aux algériens des villes. La quadrature du cercle de la haine. Moi c'est moi toi c'est toi (l'hymne des "imazighan"). Nek ed nek, ktech ed ketch. Ce n'est plus moi c'est toi et toi c'est moi pour l'union dans ce siècle qui ne pardonne plus les fautes, mais chacun pour soi.
Les immigrés sont maçons, manoeuvres etc...Ils font tout pour mettre de coté l'argent qui leur servira à construire d'immenses
gourbi au bled. Aprés avoir volé les terres de leurs cousins vivant dans les villes. Car au décès du grand-père ils s'érigent proriétaires des biens familiaux, çà leur appartient, les autres n'avaient qu'à ne pas aller s'installer en ville.
La plupart des KABYLES ne vivent que pour le m'as-tu vu. "Je suis parti pied nu et mon fils à la légion d'honneur".
Ils en sont si fiers. Avant ils camouflaient leur nationalité française, désormais ils en sont fiers. Hier à la TV de minuscules industriels parlaient à n'en pas finir, ils posaient des conditions pour aider leur pays.
Si Mohand Ou Mhand en a longuement parlé dans ses poèmes, ces immigrés de Chemlal. "Paris en est plein, dit-il(, ils sont devenus des romains, leurs @!#$ et leur race ils ont renié".
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